Date de sortie 29 juin 2016 (1h 45min)
De Fabien Onteniente
Avec Franck Dubosc, Claude Brasseur, Mylène Demongeot
Genre Comédie
Nationalité Français
Synopsis
Comme chaque été, au Camping des Flots Bleus se retrouvent pour leurs vacances nos amis, Les Pic, Jacky et Laurette, Gatineau, tout juste divorcé de Sophie, le 37, et Patrick Chirac fidèle à ses habitudes.
Cette année, Patrick a décidé de tester le co-voiturage... Pensant traverser la France avec Vanessa, il se retrouve avec trois jeunes dijonnais : Robert le charmeur, Benji le beau gosse et José la grande gueule.
Bien évidemment, après le co-voiturage, Patrick se voit contraint de tester le co-couchage…
Mon avis
Le premier opus de ce film était vraiment marrant et un peu original. Inspiré des sketch de Franck Dubosc, il faisait vivre à travers ce film les personnages qu'il a créé sur scène, c'était donc vraiment épatant et intéressant et cela donner une autre facette à ses sketchs.
Là on arrive au troisième opus de cette série et je dois avouer que je l'ai trouvé un peu creux. En effet, les personnages ont pris un coup de vieux, on voit que le scénario est un peu tiré par les cheveux, qu'on a fait un effort pour essayer de créer une crédibilité pour ce troisième volet qui,à mon sens, n'a pas trop d'intérêt.
Le personnage de Patrick n'a pas beaucoup changé, seulement physiquement! Je veux dire par là qu'il n'a pas évolué, même si on voit un peu l'aspect du "père".
On voit qu'il n'assume plus trop son âge, et c'est assez pathétique.
Les jeunes ados que l'on peut voir dans ce film, sont un peu arrivistes voire même irrespectueux. Il faut avouer qu'il y a quelques répliques marrantes mais qui ne seront pas forcément retenues par le grand public. On peut dire que c'est une comédie sans plus, qui se regarde sans forcément en attendre beaucoup de choses, mais pour laquelle il est difficile de se dire que l'on doit payer 10 € la place de cinéma pour voir ça.
Ce fut tout de même un plaisir de revoir ses personnages même si on sent que la carte Camping s'essouffle et que l'on se dirige plutôt vers du pur commercial.
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